Je mens souvent tu sais
Je m'en souviens parfois
Quand sous ses bas de soie
Elle posait ses doigts de fée
Et tu la regardais
Je mens souvent, tu sais
Et pourtant j'ai sourcillé
Lorsque tes sens se sont ouverts
En même temps que ses cuisses effeuillées
Et tu la regardais
J'ai des sentiments, tu sais
J'ai des sentiers dans mon coeur
J'ai des danseuses en pleurs
Qui ont perdu ce qu'elle cherchait
J'ai des explosions dans les yeux
Quand tu me regardes de travers
Je crois bien que c'est le seul air
Que tu me portes et c'est tant mieux
Car tu la regardais souvent
Tu la voyais entre mes reins
Elle posait ses doigts de catins
Sur tes velours, sur tes voilures éreinte-
Et tu la regardais
Elle se courbait aux quatre vents
Quand ton été pas loin pourtant
Quand ton hiver la réchauffait
Et ton automne l'effeuillait
Elle faisait tomber mon linceul
De ses épaules blanche ivoire
Tu aurais voulu y voir plus près
Et tu l'as vu, l'a regardé
Elle lançait de ses épées-pupilles
Des balles aux charmes déloyales
Vous étiez tous deux sur une île
Où je n'étais plus rivale
Et tu la regardais
Et.. tu la regardais
Dans tes yeux, je n'étais plus grande
J'étais Fantine, elle était l'ange
Que tu attendais aux aurores
Quand le matin, tu crois que j'dors
Je te vois pourtant, tu sais
Accoudé à la fenêtre
Le téléphone au bord des lèvres
Comme des larmes que rien n'arrête
Si ce n'est la pudeur des amants
Je mens souvent, tu sais
A toi, à moi, au vent
Quand il me lance tes paroles
Sans une once de sentiment
Je m'en souviens parfois
Quand sous ses bas de soie
Elle posait ses doigts de fée
Et tu la regardais
Je mens souvent, tu sais
Et pourtant j'ai sourcillé
Lorsque tes sens se sont ouverts
En même temps que ses cuisses effeuillées
Et tu la regardais
J'ai des sentiments, tu sais
J'ai des sentiers dans mon coeur
J'ai des danseuses en pleurs
Qui ont perdu ce qu'elle cherchait
J'ai des explosions dans les yeux
Quand tu me regardes de travers
Je crois bien que c'est le seul air
Que tu me portes et c'est tant mieux
Car tu la regardais souvent
Tu la voyais entre mes reins
Elle posait ses doigts de catins
Sur tes velours, sur tes voilures éreinte-
Et tu la regardais
Elle se courbait aux quatre vents
Quand ton été pas loin pourtant
Quand ton hiver la réchauffait
Et ton automne l'effeuillait
Elle faisait tomber mon linceul
De ses épaules blanche ivoire
Tu aurais voulu y voir plus près
Et tu l'as vu, l'a regardé
Elle lançait de ses épées-pupilles
Des balles aux charmes déloyales
Vous étiez tous deux sur une île
Où je n'étais plus rivale
Et tu la regardais
Et.. tu la regardais
Dans tes yeux, je n'étais plus grande
J'étais Fantine, elle était l'ange
Que tu attendais aux aurores
Quand le matin, tu crois que j'dors
Je te vois pourtant, tu sais
Accoudé à la fenêtre
Le téléphone au bord des lèvres
Comme des larmes que rien n'arrête
Si ce n'est la pudeur des amants
Je mens souvent, tu sais
A toi, à moi, au vent
Quand il me lance tes paroles
Sans une once de sentiment
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