Et mon corps me dégoûte
De larmes et de sueur sur un visage docile
Comme une ombre mobile
Qu'on n'a pas écout-

Et j'ai tué le malin
Par un mâle malsain

Le cri dans ma gorge ressemble à celui d'une mouette,
Hyène volante qui tourne autour d'elles-mêmes, sans cette

Honte viscérale, de la victoire du corps sur l'âme
Quand celle-ci revient à l'assaut
Me tabassant dans mes sanglots
Et le glas d'un son qui n'est plus mien.

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