Les gosiers hurlants de ce cœur,
Que j'entends et battre et bruler,
Ne sont que les flammes du paradis.
Il bat de l'aile,
Lance des pavés dans la mare,
Espérant faire des ricochets.

Des nuages audacieux ont chanté mon voyage
Et ouvert leurs chemins pour les esquisses
Exquises d'un duo.

Jeter un cri comme une algue à la mer.
Des cils larges qui se battent sur mon dos.
Une main à mon cou, pour rougir mon fardeau.
Et des mains de la main, je me suis vue pousser
Des ailes.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire